À 70 ans, LA Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala est déterminée à poursuivre son travail pour promouvoir le commerce international et favoriser la croissance économique dans les pays en développement à la tête de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Ngozi Okonjo-Iweala, la première femme et première Africaine à la tête de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), a décidé de briguer un second mandat. Cette nouvelle a été annoncée lundi par l’OMC.
La décision a été saluée par le groupe africain, qui l’avait officiellement demandé en juillet. Lors de cette réunion, 58 membres de l’OMC ont exprimé leur soutien à sa candidature.
Ngozi Okonjo-Iweala est une pionnière pour les femmes et les Africains. Son exploit est un modèle pour les femmes et les jeunes Africains qui aspirent à des carrières internationales.
Il s’agit d’ une économiste de renom, ayant occupé des postes clés dans plusieurs institutions internationales, notamment la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Elle est également une ancienne ministre des Finances du Nigéria, où elle a mis en œuvre des réformes économiques importantes.
Depuis qu’elle a pris les rênes de L’OMC, Ngozi Okonjo-Iweala y apporte une expérience et une expertise uniques.
Elle a réussi à renforcer la crédibilité de l’organisation et à promouvoir le commerce international en tant que moteur de croissance économique. Ses compétences en matière de négociation et de diplomatie lui ont permis de conclure des accords commerciaux importants.
Durant son premier mandat, Ngozi Okonjo-Iweala a réalisé plusieurs feats importants :
- Réforme de l’OMC : Elle a mis en œuvre des réformes pour renforcer la transparence et l’efficacité de l’organisation.
- Accords commerciaux : Elle a négocié des accords commerciaux importants, notamment l’accord sur la facilitation des échanges.
- Promotion du commerce international : Elle a promu le commerce international en tant que moteur de croissance économique.