À l’occasion du mois octobre rose, la Société Camerounaise de de Sénologie et Pathologies Mammaires en collaboration avec l’ONG Molbio, on organisé ce mardi 28 organisé un atelier sur les nouvelles méthodes de luttes contre le cancer de l’utérus et le cancer du sein. C’était au cours d’une cérémonie qui s’est déroulée en présence de la présidente SCSPM, Esther Meka et le représentant de Molbio en Afrique francophone Ebot Ntui Daniel.

Le cancer du sein et du col de l’utérus fait des ravages au Cameroun. En effet d’après une étude publiée publiée par le Secrétariat Permanent de Lutte contre le Cancer, le cancer du col de l’utérus cause plus de 7000 morts chaque année. Face à cette réalité, les deux organismes ont compris qu’il est important de trouver les pistes de solutions pour éradiquer ce fléau qui cause plusieurs décès au Cameroun.


Ainsi au cours de cet atelier de deux jours, la Doyenne de la faculté et de sciences biologiques médicale de l’UY1, présidente de SCPM à prise la parole question de planter le décor sur cette maladie. Dans un discours lyrique et mélancolique, elle a énuméré les différents éléments qui participent à la résurgence de cette maladie.

De son côté l’ONG Molbio conduite par son président bureau Afrique francophone et de ses experts venues des grands pays du Cameroun, ont reconnu que cette maladie par moment très négligée au début cause de nombreux décès. ‹‹ La plupart des malades viennent à l’hôpital pour le cancer du sein et du col de l’utérus en phase terminale. Il est important que les patients arrivent quand la maladie est encore au début pour vite diagnostiquer le mal ›› à martelé Ebot Ntui Daniel.

Face à cela, il est important de trouver les pistes de solutions de solutions, c’est ainsi que cette ONG mondial a conçu des appareils qui facilitent le diagnostic, l’éradication de la maladie.

Dans cette phase de sensibilisation, cet atelier avec pour but principal d’outiller le personnel de santé à ces nouvelles techniques de luttes contre cette maladie. Question d’arrimer le personnel aux nouvelles pratiques de lutte contre le cancer.

Mais également quelques experts venus de l’Inde ont donné des exposés, questions de mieux le comment, le pourquoi utiliser ces appareils.




Enfin cet atelier de deux jours se poursuivra demain mercredi 29 octobre par une campagne de dépistage gratuit à l’hôpital centrale de Yaoundé. Une étape décisive pour toute les femmes qui ressentent les symptômes. Cela permettra de vote diagnostiquer le mal et éradiquer la maladie.


