Plus de matchs tant que la direction actuelle de la fédération est menée par le président de la fédération de football qui à son tour refuse de démissionner malgré les pressons internationales.
Après une victoire marquée par de vives émotions et une polémique autour du baisé forcé de Luis Rubiales à Jenni Hermoso, l’on assiste en Espagne, à une cacophonie au sein de l’équipe espagnole.
Le président de la fédération de football, auteur de cet acte jugé pervers, refuse de se soumettre aux sanctions y relatives, à savoir démissionner.
Conséquences : 23 joueuses de la sélection nationale ont refusé vendredi dernier, de continuer sous sa supervision, ceci afin que le celui-ci, apprenne de ses erreurs et qu’un tel acte, ne se reproduise plus jamais, au sein des équipes féminines de football.
La victime, Jenni Hermoso numéro 10 de la Roja féminine, rappelait encore ce même vendredi soir un peu plus tôt, que ce baiser n’avait pas été consenti.
Sur le plan juridique, un baiser non consenti est considéré comme un délit d’agression sexuelle selon la loi espagnole.
Ce jour, après le refus catégorique du président de démissionner de son poste ou encore d’obtenperer, les championnes du monde, ont fait une note, dans laquelle elles exprimaient leur mécontentement et leur statut à tenir.
Luis Rubiales, âgé de 46 ans, s’en est aussi pris au « faux féminisme » qui « ne cherche pas la vérité ». Il a notamment attaqué trois femmes membres du gouvernement, dont la ministre communiste du Travail et numéro trois du gouvernement, Yolanda Díaz, qui avait été l’une des premières à exiger sa démission.
Malgré les efforts fournis par la FIFA pour le faire démissionner et autres plaintes, Luis Rubiales a quand-même refusé de se soumettre et de capituler. L’instance a décidé samedi, de le suspendre de « toute activité liée au football au niveau national et international ».